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23.09.2015

prochain atelier peinture

 l'Atelier peinture animé par Sylvie

 

Samedi 3 octobre :

le chacheur  (paysage peint sur format marine)

  de 10h15 à 11h45, pour les 5-7 ans

de 14h15 à 15h45 et de 16h à 18h, pour les 6-12 ans

N'oubliez pas de vous inscrire à l'atelier une semaine avant par téléphone (05 63 76 85 85) ou par courriel (mediatheque@carmaux.fr)

22.09.2015

Rappel : Rencontrez un auteur de Romans Policiers espagnol

Vendredi 2 Octobre à 17h

Médiathèque de Carmaux

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Víctor del Árbolné en 1968 à Barcelone, est un romancier espagnol, auteur de roman policier.

 

La parution en 2011 de La Tristesse du samouraï, traduit en une douzaine de langues et best-seller en France, lui apporte la notoriété. Pour ce roman, il remporte plusieurs distinctions, notamment le prix du polar européen en 2012.

 

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La tristesse du samouraï

 « Trois générations marquées au fer rouge par une femme infidèle. L'incartade a transformé les enfants en psychopathes, les victimes en bourreaux, le code d’honneur des samouraïs en un effroyable massacre. Et quelqu’un doit laver le péché originel. »

 

L'auteur nous plonge dans une intrigue particulièrement riche, se jouant sur deux époques de l'histoire espagnole séparées de 40 ans. L’enlèvement d’une enfant ayant pour lien un drame s’étant passé lors de la guerre civile espagnole. Une sombre histoire de vengeance, où l'on découvre comment les erreurs du passé se répercutent sur le présent, lors d'un voyage d'allers-retours entre les années 40 et 80 en Espagne. Brillant et tranchant comme le sabre...

Aussi tragique que passionnant, l’auteur nous offre là un chef d’œuvre : force et singularité des personnages, servis par une qualité d'écriture certaine.

 

C'est l'époque franquiste et post franquiste qui est restituée, avec ses jeux de pouvoir et de haine. Ce roman noir, plus qu'un thriller, est une grande réussite avec une composante historique intéressante.

 

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La maison des chagrins

 

« Eduardo tente de survivre dans un appartement sans âme, grâce à l’alcool et aux psychotropes que lui prescrit la psychiatre chargée de sa réinsertion. Il vient de purger une peine de prison pour le meurtre du chauffard qui a tué sa femme et sa fille, voilà quatorze ans. Peintre autrefois coté, il gagne sa vie en exécutant à la chaîne des portraits anonymes que sa galeriste place dans les grandes surfaces. Un jour, celle-ci lui transmet une bien étrange commande : une célèbre violoniste lui demande de réaliser le portrait de l’homme qui a tué son fils. Elle veut pouvoir déchiffrer sous les traits de l’homme les caractéristiques de l’assassin. Unis dans la même douleur, la commanditaire et l’artiste ouvrent bientôt la boîte de Pandore, déchaînant tous les démons qui s’y trouvaient enfouis. Le pinceau d’Eduardo met au jour une galerie d’êtres tourmentés, enfermés dans un drame qui a figé leur existence : un jeune Chinois androgyne qui fait commerce de son corps, un fils de combattant de l’OAS enrichi par le gaz et le pétrole d’Alger, un ex-agent de la police politique de Pinochet, un Arménien sans foi ni loi, une jeune fille abusée par l’amant de sa mère, un mercenaire soufi… »

 

Autant de personnages qui hantent la maison des chagrins, pris au piège d’une vengeance désespérée et d’un hasard qui n’est que l’autre nom du destin. Assemblant sous les yeux du lecteur les mille et une pièces d’un terrifiant puzzle, Víctor del Árbol signe un roman vertigineux de maîtrise, glaçant de noirceur et désarmant d’humanité.

La Maison des chagrins est vraiment un fabuleux et magnifique roman noir, porté par une écriture puissante, élégante et racée, ainsi que des personnages dont l'auteur dissèque la psychologie complexe. L'intrigue, en apparence simple, se révèle être en réalité une véritable construction.

 

Tout l'art de l'auteur est de créer des personnages, les faire vivre, nous les faire aimer ou détester. Une histoire sombre dénuée d'espoir. Un livre qui se lit avec beaucoup de plaisir où l'on s'enfonce dans la noirceur de ces âmes humaines qui composent un tableau complexe où tous les destins sont entrelacés, unis dans un même cauchemar. 

 

 

En ne dévoilant son ampleur, sa profondeur et ses multiples intrications que petit à petit, l’auteur offre un récit captivant. Au fil des rebondissements et des retournements de situation, le final est radicalement différent de l'image que l'on imaginait initialement.

 

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Toutes les vagues de l'océan

 

« Gonzalo Gil reçoit un message qui bouleverse son existence : sa sœur, de qui il est sans nouvelles depuis de nombreuses années, a mis fin à ses jours dans des circonstances tragiques. Et la police la soupçonne d'avoir auparavant assassiné un mafieux russe pour venger la mort de son jeune fils. Ce qui ne semble alors qu'un sombre règlement de comptes ouvre une voie tortueuse sur les secrets de l'histoire familiale et de la figure mythique du père, nimbée de non-dits et de silences. Cet homme idéaliste, parti servir la révolution dans la Russie stalinienne, a connu dans l'enfer de Nazino l'incarnation du mal absolu, avec l'implacable Igor, et de l'amour fou avec l'incandescente Irina. La violence des sentiments qui se font jour dans cette maudite «île aux cannibales» marque à jamais le destin des trois protagonistes et celui de leurs descendants. Révolution communiste, guerre civile espagnole, Seconde Guerre mondiale, c'est toujours du côté de la résistance, de la probité, de l'abnégation que ce parangon de vertu, mort à la fleur de l'âge, a traversé le siècle dernier. Sur fond de pression immobilière et de mafia russe, l'enquête qui s'ouvre aujourd'hui à Barcelone rebat les cartes du passé. La chance tant attendue, pour Gonzalo, d'ébranler la statue du commandeur, de connaître l'homme pour pouvoir enfin aimer le père. »

  

Toutes les vagues de l'océan déferlent dans cette admirable fresque d'un XXe siècle dantesque porteur de toutes les utopies et de toutes les abjections humaines. Une fresque dont le point de départ est l’idéalisme des jeunes communistes partis à Moscou avec une bourse d’étude pour aider la Russie à se développer et qui ont découvert l'horreur des régimes totalitaires. 3 personnages : Elias, Irina et Igor. Ils sont liés par la haine, le sang et le poids des secrets de famille qui rejailliront sur leurs descendants. De la Sibérie des années 30, à la corruption à Barcelone de nos jours, en passant par l'époque franquiste. Quand l'idéalisme se brise face à la nécessité de survivre. Haletant et rebondissant. Víctor del Árbol nous emporte dans une histoire ou les actes commis hier explosent sur la vie des descendants d'aujourd'hui. 

  

Vous pouvez emprunter ou réserver

ces trois romans à la médiathèque

RP ARB

16.09.2015

Encore des histoires !

Marie-Noëlle et Geneviève de l'association "La Maison du  Soir"

 invitent les enfants à partir de 3 ans à les rejoindre pour 

 

L'heure du livre et du conte

 

 

 

 

Mercredi 30 septembre

 

Mercredi 21 octobre

 

Mercredi 25 novembre

 

de 16h à 17h

 

N'oubliez pas de vous inscrire une semaine avant, en téléphonant (05 63 76 85 85) ou en adressant un courriel (mediatheque@carmaux.fr).

12.09.2015

Des jeux !

La ludothèque itinérante,

proposée par les "Eclaireurs de France" , reprend ses activités

pour les enfants de 5 à 12 ans

accompagnés d'un adulte

De 14h30 à 16h

 

le samedi 26 septembre 2015

le samedi 10 octobre 2015

le samedi 28 novembre 2015

N'oubliez pas de vous inscrire à l'atelier une semaine avant, en téléphonant ( 05 63 76 85 85) ou en adressant un courriel (mediatheque@carmaux.fr) !

05.09.2015

Atelier d'écriture créative

Atelier d'écriture créativeateliers-d-ecriture.jpg

 Stéphanie Chaulot, auteure et éditrice carmausine, vous donne rendez-vous pour les prochains atelier d'écriture créative les

Samedi 19 septembre,

Samedi 10 octobre,

Samedi 21 novembre

de 10h15 à 11h45

Pour les jeunes de plus de 14 ans et les adultes.

02.09.2015

Venez rencontrer un auteur de Romans Policiers espagnol

Vendredi 2 Octobre à 17h

Médiathèque de Carmaux

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Víctor del Árbol, né en 1968 à Barcelone, est un romancier espagnol, auteur de roman policier.

 

La parution en 2011 de La Tristesse du samouraï, traduit en une douzaine de langues et best-seller en France, lui apporte la notoriété. Pour ce roman, il remporte plusieurs distinctions, notamment le prix du polar européen en 2012.

 

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La tristesse du samouraï

 « Trois générations marquées au fer rouge par une femme infidèle. L'incartade a transformé les enfants en psychopathes, les victimes en bourreaux, le code d’honneur des samouraïs en un effroyable massacre. Et quelqu’un doit laver le péché originel. »

 

L'auteur nous plonge dans une intrigue particulièrement riche, se jouant sur deux époques de l'histoire espagnole séparées de 40 ans. L’enlèvement d’une enfant ayant pour lien un drame s’étant passé lors de la guerre civile espagnole. Une sombre histoire de vengeance, où l'on découvre comment les erreurs du passé se répercutent sur le présent, lors d'un voyage d'allers-retours entre les années 40 et 80 en Espagne. Brillant et tranchant comme le sabre...

Aussi tragique que passionnant, l’auteur nous offre là un chef d’œuvre : force et singularité des personnages, servis par une qualité d'écriture certaine.

 

C'est l'époque franquiste et post franquiste qui est restituée, avec ses jeux de pouvoir et de haine. Ce roman noir, plus qu'un thriller, est une grande réussite avec une composante historique intéressante.

 

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La maison des chagrins

 

« Eduardo tente de survivre dans un appartement sans âme, grâce à l’alcool et aux psychotropes que lui prescrit la psychiatre chargée de sa réinsertion. Il vient de purger une peine de prison pour le meurtre du chauffard qui a tué sa femme et sa fille, voilà quatorze ans. Peintre autrefois coté, il gagne sa vie en exécutant à la chaîne des portraits anonymes que sa galeriste place dans les grandes surfaces. Un jour, celle-ci lui transmet une bien étrange commande : une célèbre violoniste lui demande de réaliser le portrait de l’homme qui a tué son fils. Elle veut pouvoir déchiffrer sous les traits de l’homme les caractéristiques de l’assassin. Unis dans la même douleur, la commanditaire et l’artiste ouvrent bientôt la boîte de Pandore, déchaînant tous les démons qui s’y trouvaient enfouis. Le pinceau d’Eduardo met au jour une galerie d’êtres tourmentés, enfermés dans un drame qui a figé leur existence : un jeune Chinois androgyne qui fait commerce de son corps, un fils de combattant de l’OAS enrichi par le gaz et le pétrole d’Alger, un ex-agent de la police politique de Pinochet, un Arménien sans foi ni loi, une jeune fille abusée par l’amant de sa mère, un mercenaire soufi… »

 

Autant de personnages qui hantent la maison des chagrins, pris au piège d’une vengeance désespérée et d’un hasard qui n’est que l’autre nom du destin. Assemblant sous les yeux du lecteur les mille et une pièces d’un terrifiant puzzle, Víctor del Árbol signe un roman vertigineux de maîtrise, glaçant de noirceur et désarmant d’humanité.

La Maison des chagrins est vraiment un fabuleux et magnifique roman noir, porté par une écriture puissante, élégante et racée, ainsi que des personnages dont l'auteur dissèque la psychologie complexe. L'intrigue, en apparence simple, se révèle être en réalité une véritable construction. En ne dévoilant son ampleur, sa profondeur et ses multiples intrications que petit à petit, l’auteur offre un récit captivant. Au fil des rebondissements et des retournements de situation, le final est radicalement différent de l'image que l'on imaginait initialement.

 

Tout l'art de l'auteur pour créer des personnages, les faire vivre, nous les faire aimer ou détester. Une histoire sombre dénuée d'espoir qui nous dévoile une véritable toile d'araignée qui se dévoile au fil des pages. Un livre qui se lit avec beaucoup de plaisir ou l'on s'enfonce dans la noirceur de ces âmes humaines qui composent un tableau complexe qui se dévoile au fil des pages ou tous les destins sont entrelacés, unis dans un même cauchemar. 

 

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Toutes les vagues de l'océan

 

« Gonzalo Gil reçoit un message qui bouleverse son existence : sa sœur, de qui il est sans nouvelles depuis de nombreuses années, a mis fin à ses jours dans des circonstances tragiques. Et la police la soupçonne d'avoir auparavant assassiné un mafieux russe pour venger la mort de son jeune fils. Ce qui ne semble alors qu'un sombre règlement de comptes ouvre une voie tortueuse sur les secrets de l'histoire familiale et de la figure mythique du père, nimbée de non-dits et de silences. Cet homme idéaliste, parti servir la révolution dans la Russie stalinienne, a connu dans l'enfer de Nazino l'incarnation du mal absolu, avec l'implacable Igor, et de l'amour fou avec l'incandescente Irina. La violence des sentiments qui se font jour dans cette maudite «île aux cannibales» marque à jamais le destin des trois protagonistes et celui de leurs descendants. Révolution communiste, guerre civile espagnole, Seconde Guerre mondiale, c'est toujours du côté de la résistance, de la probité, de l'abnégation que ce parangon de vertu, mort à la fleur de l'âge, a traversé le siècle dernier. Sur fond de pression immobilière et de mafia russe, l'enquête qui s'ouvre aujourd'hui à Barcelone rebat les cartes du passé. La chance tant attendue, pour Gonzalo, d'ébranler la statue du commandeur, de connaître l'homme pour pouvoir enfin aimer le père. »

  

Toutes les vagues de l'océan déferlent dans cette admirable fresque d'un XXe siècle dantesque porteur de toutes les utopies et de toutes les abjections humaines. Une fresque dont le point de départ est l’idéalisme des jeunes communistes partis à Moscou avec une bourse d’étude pour aider la Russie à se développer et qui ont découvert l'horreur des régimes totalitaires. 3 personnages : Elias, Irina et Igor. Ils sont liés par la haine, le sang et le poids des secrets de famille qui rejailliront sur leurs descendants. De la Sibérie des années 30, à la corruption à Barcelone de nos jours, en passant par l'époque franquiste. Quand l'idéalisme se brise face à la nécessité de survivre. Haletant et rebondissant. Víctor del Árbol nous emporte dans une histoire ou les actes commis hier explosent sur la vie des descendants d'aujourd'hui. 

  

Vous pouvez emprunter ou réserver ces trois romans à la médiathèque

RP ARB